jeudi 17 mars 2011

Hors (mones)

Il y a des matins comme celui-ci : les rêves s'évaporent lentement dans la réalité. Pas de cauchemars, mais le genre de rêves qui vous laissent une sensation amère qui vous poursuit toute la journée. Les angoisses cristallisées. Une mygale dans un asile, une chute presque mortelle (ouf!)...

Je préfère quand Morphée me laisse m'envoler. Haut, très haut.


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